Prêt fiction : le profil emprunteur de... Kevin McCallister

Dans la famille des films de Noël, on demande l’incontournable "Maman, j’ai raté l’avion" ! Vous faites partie de ces éternels nostalgiques souriant déjà face à la tête blonde du malicieux Kevin défiant les Casseurs Flotteurs ? C’est pareil chez Pretto, où la diffusion du film signe un immanquable arrêt sur image sur la grande et lumineuse maison des McCallister. Et puis, on a envie de savoir ce qu’est devenu Kevin, pas vous ? Ça tombe bien, on a son dossier de demande de prêt sous les yeux !

C’est le film de Noël le plus populaire au monde mais vous êtes passé à côté ? On ne vous juge pas (ou juste un peu) et on vous offre un petit récap.

Entre confusion et course contre-la-montre, Kevin McCallister, 8 ans, est oublié chez lui alors que le reste de sa famille s’envole pour fêter Noël à Paris. Ce qui a le don de le réjouir, lui qui avait fait le souhait la veille au soir de ne plus jamais voir sa famille.

Bien sûr, tout est bien qui finit bien pour le petit Kevin. Qui aura tout de même l’occasion de revivre un second abandon deux ans plus tard, lors duquel il recroisera la route des voleurs, à New York cette fois.

Et après ? Eh bien, on a imaginé la suite.

Son aventure inédite ayant fait le tour du monde, Kevin McCallister est propulsé au rang de star. Après avoir écumé les plateaux TV, il reprend une vie plus traditionnelle d’ado.

De leurs échanges vont naître deux best-sellers, “Comment se remettre d’un abandon” et “Maman, je m'occupe des méchants”. De quoi agrémenter les comptes en banque de chacun grâce à leurs droits d’auteurs !

Côté cœur, après en avoir brisé un certain nombre, Kevin finit par réaliser que le sien bat intensément pour Madison. Mariés et parents de trois garçons aussi blonds que lui, les parents recherchent aujourd’hui un joli pied à terre… à Paris !

L’entreprise familiale étant prospère, les livres faisant toujours recette, Madison s’épanouissant dans son activité de psychothérapeute et les finances des McCallister ne s’étant jamais aussi bien portées, le couple envisage depuis peu de demander un prêt en France pour acquérir une résidence secondaire à Paris.

En effet, pour oublier son voyage raté à l’âge de 8 ans, Kevin est parti à la découverte de la capitale française et en est tombé amoureux. Aujourd’hui, c’est toute la famille qui arpente les rues parisiennes, s’arrêtant devant les vitrines des agences immobilières.

• appartement avec vue sur la Tour Eiffel ;
• au moins un espace pour se tenir à deux dehors (même serrés) ;
• 100 m2 minimum ;
• 7e arrondissement (en priorité), 15e (pourquoi pas), 8e (à voir) ;
• immeuble ancien, mais travaux de rénovation récents, digicode et ascenseur, parties communes très bien entretenues ; moulures, hauts plafonds et parquet idéalement ;
• 4 chambres minimum ;
• au moins 2 salles de bain/d’eau avec double vasque ;
• pas de rez-de-chaussée.

L’appartement parisien idéal cochant tous les critères étant rare, le couple est d’accord pour réaliser une concession sur l’arrondissement, à condition que la Tour Eiffel soit toujours perceptible, même avec des jumelles.

Il faut cependant noter que le budget de Madison et Kevin reste confortable pour acquérir un bien immobilier parisien.

Restituons leur situation (convertie en euros) :

• 152 m2, 7e arrondissement, 6 pièces, vue sur la Tour Eiffel, balcon : 2 547 000 € soit 15 888 € de mensualité ;
• 193 m2, 8e arrondissement, 6 pièces, vue sur la Madeleine ET le sommet de la Tour Eiffel : 2 800 000 € soit 17 948 € de mensualité ;
• 162 m2, 7e arrondissement, 6 pièces, vue sur la Tour Eiffel (avec un peu de contorsion) : 2 500 000 € soit 15 505 € de mensualité, pour lequel ils ont un véritable coup de coeur.

(Estimations faites avec un taux à 4,15 % sur 15 ans, hors assurance).

Mais la demande de prêt n’est pas aussi simple que Madison et Kévin le pensaient…

Très confiants, Madison et Kévin entreprennent de rencontrer une première banque avec leur 650 000 euros d’apport en poche. Mais c’est la douche froide ! L’établissement bancaire leur adresse un refus. Interloqués, ils se dirigent vers une deuxième puis une troisième banque : même réponse, sans autre explication.

Bilan de l’accompagnement :

L’expert Pretto s'occupe de leurs démarches administratives, un sacré gain côté charge mentale, et l’assurance de ne faire aucune erreur ;

Le courtier défend bec et ongle le dossier face aux banques, leur expliquant le parcours professionnel du couple, les trois derniers bilans de la société en main. Un vrai plus, beaucoup de banquiers ne sachant pas bien interpréter les bilans comptables des chefs d’entreprise ;

Finalement, faire confiance à un professionnel leur permet de faire aboutir leur projet d’achat d’une résidence secondaire, tout en les libérant d’une charge mentale non négligeable (encore plus avec la distance). Champagne ! Ça tombe bien, leur nouveau pied-à-terre dispose d’une cave à vins…